La maladie de Lyme est une pathologie environnementale qui décline 4 facteurs importants :
- La charge toxique globale élevée
- La charge infectieuse globale élevée
- Un terrain dénutri, démuni de tout ce qui va lui permettre de vivre
- Un intestin dysbiotique
La découverte de la borréliose de Lyme
La maladie de Lyme appelée aussi borréliose de Lyme a été découverte en 1982 par
W. burdoferi aux états unis dans le comté de Lyme. Il a découvert qu’il y avait des borrélies, des bactéries spiralées, qui vont pénétrer dans le corps après morsures de tiques en autres.
Ces borrélies vont migrer vers des tissus plus profonds et devenir intracellulaire.
Ces 4 formes doivent être traitées de même que les coinfections (autres borrelia : myamotoï et hermsii, rickettsia, bartonella, babesia, anaplasma, coxiella, francisella tularensis, candidatus neoehrlichia, brucella, mycoplasma, FSME, virus Eyach, virus west nile, virus bourbon, candidas) qui accompagnent toujours la borréliose de Lyme.
Ces infections peuvent être des bactéries, des virus, des parasites, des champignons, des levures, des moisissures.
Les vecteurs principaux de la maladie de Lyme
Les vecteurs principaux sont :
– Les tiques
– Les moustiques, des taons, des araignées, des aoutats, (= insectes piqueurs mordeurs)
– Contamination materno-fœtale, qui a été démontrée.
– Transmission sexuelle (étude 2014)
– Par transfusion sanguine
Les Stade de la maladie de Lyme
Il y a 3 stades de la maladie :
1. Stade 1 = stade aigu
2. Stade 2 = diffus
3. Stade 3 = chronicité
Les traitements conventionnels ne peuvent rien contre l’agent pathogène (bactérie Borrelia). Les borrélies, dont on connaît bien maintenant les nombreuses sous-espèces, sont effectivement des bactéries d’un genre très particulier.
Grâce à cette configuration et à leurs capacités motrices bidirectionnelles, elles sont capables de déjouer toutes les stratégies du système immunitaire. Elles sont capables de prendre une forme particulière, dite « forme L » : une stratégie redoutable propre aux bactéries les plus intelligentes qui leur permet de se cacher dans des kystes sphériques dans tous les tissus et tous les organes.
Elles échappent aux antibiotiques et aux globules blancs. La plupart des traitements officiellement proposés sont des antibiotiques et des corticoïdes. Ils sont décevants, inefficaces et même dangereux puisqu’ils ne font que faire retrancher le parasite dans des organes de plus en plus profonds et de plus en plus vitaux sans jamais l’éliminer.
Face à une médecine conventionnelle relativement peu efficace, les traitements naturels sont largement plébiscités et la biorésonance dite exogène en fait partie grâce à des vibrations électromagnétiques émises sur les Borrélias que cet agent pathogène ne supporte pas. Chaque agent pathogène dispose d’une fréquence vibratoire qui lui est propre et la modification de cette fréquence entraîne sa destruction. Concernant la Borrelia Burgdorferi qui est la bactérie de la maladie de Lyme, sa fréquence oscillatoire mortelle varie sur différents cycles connus.
La maladie de Lyme et la biorésonance
Les séances de biorésonance vous apportent une solution curative, sans douleur ni médicament, et ne présentent aucun danger pour l’organisme. Elles stimulent votre système immunitaire. Grâce à lui, le corps devient également plus résistant aux maladies et, de plus, récupère plus vite.
« N’écartez pas l’avis de votre médecin traitant. Les méthodes proposées sont complémentaires avec un traitement en cours. Seul votre médecin peut établir un diagnostic et modifier vos traitements. »